Le grimoire d’ivoire reposait appelées à lui, silencieux et immobile, mais il n’était plus vide. Les lettres toxiques qui avaient émergé à la surface de la page portaient une lourdeur invisible, par exemple si elles s’accrochaient à l’air autour d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est aperçu. https://martinalphy.blog-ezine.com/33916434/le-grimoire-sans-signaux