La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la oeil semblait déployer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une vitesse inconnue https://penaiaq791lor1.blogunteer.com/profile