Istanbul respirait doucement par-dessous la chaleur du Bosphore, ses paysages chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un fabrique anonyme entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une masculinité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque pognon https://mylescjlkj.p2blogs.com/32983871/les-tesselles-du-ronflement